Colette: les auteurs

 

COLETTE ENTRE DEUX SIÈCLES

Léa Buisson

Léa Buisson est doctorante en cotutelle à l’Université de Montréal et à l’Université
Paris Diderot – Paris 7, où elle prépare une thèse sur les rapports entre le
mouvement surréaliste et le cinéma. Ses articles ont paru notamment dans la
revue Mélusine et les Cahiers Benjamin Péret.

Frédérique Collette

Étudiante à la maîtrise à l’université de Montréal Frédérique Collette a un
intérêt marqué pour la littérature des femmes des 20e et 21e siècles. Son mémoire
portera sur l’écriture de la honte chez Violette Leduc et Annie Ernaux.

Vanessa Courville

Détentrice d’une maîtrise en littératures de langue française portant sur
l’éthos épistolaire de Colette dans Lettres à sa fille (1916-1953), Vanessa Courville a
également publié un article intitulé « Mères atypiques. L’enjeu de l’éducation
maternelle dans Lettres à sa fille (1905-1912) de Sido et Lettres à sa fille (1916-1953) de
Colette » dans le cadre du groupe de recherche Les Savoirs des femmes. Elle poursuit
actuellement un doctorat au département des Lettres et Communications de
l’Université de Sherbrooke dans lequel elle s’intéresse à la poésie québécoise
contemporaine et aux théories de la création littéraire.

Isabelle Dumas

Isabelle Dumas termine une thèse à l’Université de Montréal en
littératures de langue française, en cotutelle avec Paris 3-Sorbonne Nouvelle sur les
figures et figurations de l’agressivité dans l’oeuvre de Marcel Proust. Chargée de
cours à l’U. de Montréal depuis 2013 en création littéraire, sa maîtrise portait sur la
représentation de la sexualité dans les romans de Houellebecq. Elle est l’auteure
d’un roman (Disloc) ainsi que de quelques nouvelles. Elle a participé à divers
colloques et publié des articles et des comptes rendus dans des collectifs et des
revues universitaires. Elle a créé et administre deux blogues, l’un sur Proust, l’autre
sur Houellebecq :

Alessio Marziali Peretti

Alessio Marziali Peretti est diplômé du Département d’Études américaines,
Européennes et Interculturelles de l’Université La Sapienza de Rome. Il poursuit
des études doctorales en philologie romane à l’Université de Montréal depuis 2016.

Andrea Oberhuber

Andrea Oberhuber est professeure au Département des littératures de langue
française de l’Université de Montréal où elle enseigne les littératures française et
québécoise, notamment l’écriture des femmes (XIXe-XXIe siècles), les avant-gardes
historiques et la photolittérature. Elle a dirigé, entre autres, un collectif sur Claude
Cahun (2007), ainsi que des dossiers de revue sur « Réécrire au féminin » (Études
françaises, 2004 ; avec L. Gauvin), « Voir le texte, lire l’image « (Dalhousie French
Studies, 2009), « À belles mains. Livre surréaliste, livre d’artiste » (Mélusine, 2012) et
« Polygraphies du corps dans le roman de femme contemporain » (Tangence, 2013).
Son essai hybride Corps de papier. Résonances est paru en 2012 chez Nota bene. En
2016 : les collectifs Fictions modernistes du masculin-féminin : 1900-1940 (codir. avec A.
Arvisais et M-C. Dugas ; PUR) et Héritages partagés de Claude Cahun et Marcel Moore
((codir. avec A. Arvisais ). Avec Catherine Mavrikakis, elle codirige la revue
numérique MuseMedusa . Ses recherches portent actuellement sur « Le Livre
surréaliste au féminin ».

Martine Reid

Martine Reid est professeure de langue et littérature françaises à l’université de
Lille-3 et actuellement en délégation au CNRS dans le laboratoire LEGS consacré
aux recherches sur le genre.
Elle est l’auteure de plusieurs ouvrages, parmi lesquels Des Femmes en littérature
(Belin, 2010), ainsi que de nombreuses éditions critiques. Elle a créé chez Gallimard
la série « Femmes de lettres » et dirige aux Éditions Honoré Champion la collection
« Littérature et genre ».

Marie-Rose Savard Morand

Marie-Rose Savard Morand travaille actuellement à la rédaction d’un mémoire de
maîtrise sur le rap québécois contemporain dans la perspective de la sociologie de
la littérature et de la poétique de la chanson. Elle est dirigée par la professeure
Chantal Savoie à l’Université du Québec à Montréal. Elle fait partie de l’équipe du
Laboratoire de recherche sur la culture de grande consommation et la culture
médiatique au Québec, et collabore à divers projets reliés au Centre de recherche
interuniversitaire sur la littérature et la culture québécoises (CRILCQ) et à l’équipe
de la Vie littéraire au Québec.

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